La construction de murs aux frontières est souvent décriée, notamment pour des raisons d’inefficacité. Le président des États-Unis est d’ailleurs critiqué pour sa volonté de construire un mur à la frontière avec le Mexique, pour ces mêmes raisons.
Pourtant, en Israël, la construction d’un mur à la frontière a eu un succès incroyable : il y a eu 17 000 entrées illégales en 2011, 0 en 2017. Une réussite totale pour ce projet, qui tend à réhabiliter ce genre de mesures contre l’immigration illégale.
— hategraphs (@hategraphs) 24 février 2018
Certes, l’État d’Israël est beaucoup plus petit que les États-Unis : le mur est donc plus aisé à construire, plus facile à contrôler. Mais on peut aussi noter qu’en Hongrie, pays beaucoup plus pauvre et qui ne peut donc pas dépenser des fortunes pour ce genre de surveillance, la construction d’une barrière barbelée à la frontière a réduit l’immigration illégale de 99,7%.
Ce genre d’initiative peut amener les États européens à réfléchir sur leur politique migratoire. Récemment, le premier ministre Édouard Philippe a déclaré que « l’avenir des Chrétiens d’Orient doit être en Orient ». Preuve que la politique migratoire de ces dernières décennies pourrait bien être prochainement remise en cause.
La France ne se dérobera pas à son devoir d’hospitalité. Mais l’avenir des Chrétiens d’Orient doit être en Orient.
— Edouard Philippe (@EPhilippePM) 22 février 2018