Près de 9000 retweets et un message clair : la pollution générée par les emballages plastiques alimentaires est colossale. Des gestes anodins aujourd’hui : jeter un bout de papier après avoir consommé une barre de céréales (ou autre), comme si ça n’avait aucune importance. Mais la grande différence entre des épluchures de pomme ou d’orange et les plastiques réside dans la biodégradabilité : les épluchures disparaissent en quelques mois, les plastiques en une éternité.
Emballage de barre « Nuts » sur une plage de La Turballe. A consommer avant le 18/03/1993.. j’étais même pas né.. pic.twitter.com/dTu4DIu7Od
— Maxime Huguet (@stormaxou) 29 janvier 2018
Aujourd’hui la prévention se multiplie, notamment dans les écoles, pour inciter les personnes à jeter à la poubelle leurs déchets, à les trier si possible. Alors que des éco-quartiers choisissent de mettre en place des composts collectifs, que des initiatives « zéro déchets » fleurissent, des comportements inacceptables continuent à proliférer. Pas moyen de marcher en forêt sans tomber sur un détritus en plastique.
Lentille qui expire en 2010… pic.twitter.com/Hnbj5vJGUi
— Maxime Huguet (@stormaxou) 29 janvier 2018
Ces exemples nous montrent de façon claire et sans contestation possible la catastrophe générée par ces déchets abandonnés. C’est à chacun d’adopter une attitude positive envers cela, et nos espaces naturels pourront retrouver de belles couleurs !